Collection Soumise. Il Est Difficile DÉchapper À Son Destin. Début De La Saison I (1/3)
Lorsque jai contacté Chris pour lui raconter ma vie, pour lui expliquer ce quelle avait été, je savais par lamie qui mavait conseillé à lui, que le plus dur ce serait la collection ou classer mon histoire.
Ce fut le cas.
Collection Cocu, il y en a eu un ça, cest sûr, Loïc mon mari qui dun coup a porté des cornes dignes du plus grand cerf de la forêt de Fontainebleau tout près de chez nous.
Je vais éviter de faire le tour des autres collections, nous avons même un moment envisagé la création dune nouvelle.
Finalement, cest dans la « collection soumise » que dun commun accord, nous la plaçons dans cette collection.
Soumise à un homme, quelle incongruité.
Soumise à une femme, encore moins, toute ma vie, jai dominée les uns ou les autres.
Soumise à un Maître, pouah, plutôt couper les couilles de celui qui voudrait faire de moi son esclave.
Soumise à une Maîtresse, pas celle de ma maternelle ou de mon école primaire, non, celle avec des cuissardes, des tenues noires avec des cravaches, encore plus improbables.
Non, jai un Maître, je suis obligée de lavouer, depuis ma puberté, mon sexe, cest à lui que je suis soumise.
Dès que je suis arrivée à comprendre quen posant un doigt en haut de ma petite minette, comme lappelait, maman, javais des sensations dans tout le bas de mon corps.
Ça faisait quelques jours que javais découvert ces sensations quand il a commencé à se recouvrir de poils.
Dans ces mêmes jours, maman mavait mis une claque lorsquen pleure, je suis venue lui faire voir que coulait.
Jétais inculte, mais maman ma expliqué les menstruations.
La claque sétait une tradition pour les premières règles des filles dans notre famille.
Cette période, cest celle où je suis rentrée au collège un peu moins de douze ans et comme je méloignais de mes parents, ils mont acheté un portable.
Lorsque nous sommes allées chez lopérateur, le jeune vendeur a proposé à mes parents de le protéger dun code parental pour éviter que je puisse me connecter à des sites interdits aux s.
Jétais déjà espiègle et jai vite compris que je devrais découvrir pourquoi, lorsque je me caressais, mon corps senflammait.
Cest là que jai fait la connaissance de Christian dont on reparlera plus tard, qui est devenu mon copain.
Il avait lui-même un frère et un mercredi où jétais allée pour un devoir, il a fait le nécessaire pour que ce blocage disparaisse.
Le soir même dans mon lit, je regardais mon premier porno.
Plus tard, jai appris que jétais dans la moyenne des jeunes de notre époque.
Un petit film ma intéressé, ça parlait du dépucelage dune jeune fille.
Ce soir-là, jai vu lorsque le garçon a sorti sa bite alors que la donzelle avait crié à son introduction.
Jai cherché pourquoi et jai appris que les filles avaient un hymen genre de membranes qui se déchirait à lintroduction de la bite masculine.
Jai été folle, le soir même elle sautait lorsque je me suis introduit une carotte rapportée du marché par maman.
Certes, jai eu mal, mais sétait fait, je pouvais faire ce que je voulais avec ma chatte et surtout découvrir, lorgasme.
Lorgasme souvent entendu dans les pornos par les cris poussés par les filles.
Javais passé mes 14 ans quand je suis allée une nouvelle fois chez Christian.
Je savais quil était puceau, étant son amie, il avait demandé à Joseline ma copine de faire lamour avec elle.
Dans ma tête, je voulais que ce soit moi qui le dépucelle.
Le travail ma été facilité, car il était en survêtement, il venait de rentrer de son entraînement de foot.
Nous étions assis côte à côte, il regardait mes seins qui étaient déjà bien développés.
Jen étais fière, car les hommes commençaient à les regarder de plus en plus.
Je sais, jétais jeune même encore très jeune, mais lappel du sexe de ce garçon de mon âge me permettait davoir toutes les audaces.
Javais déjà refusé les avances de deux garçons majeurs qui auraient pu avoir des ennuis du côté de la loi.
Jai glissé ma main dans son pantalon.
Joubliais, grâce à Joseline, je me suis fait livrer un gode acheté sur Internet et payé avec un chèque volé à ma mère.
Javais pris le dernier, ma mère étant carte bleue, javais peu de chances dêtre découverte.
Mon père gagne bien sa vie et sans vivre dans lopulence, ma mère ignore ce que contrôle de la banque veut dire.
Grâce au modèle tournant et vibrant, je menvoyais en lair devenant de plus en plus accro au sexe.
Un gode, cest drôle au début, mais la chaleur et surtout létonnement de Christian a été complet.
Jen ai profité pour la sortir, ladmirer, cétait la première que je voyais en vrai.
Je savais comment faire, je suçais mon gode pour mentraîner en vue de ce jour qui était enfin arrivé.
Ce que jignorais à ce jour, cétait de doser la masturbation et le pompage de cette verge.
● France arrête, je vais, je vais...
Dun coup ça a giclé dans ma bouche, première, mais loin dêtre la dernière.
Au moment où jexplique ma vie même encore très jeune à Chris, combien de litres en ai-je bus.
Il était à la limite de pleurer, mais nous étions jeunes et le devoir terminé, jai baissé son pantalon écarté ma culotte et je me suis empalée, il bandait dès que je lai touché.
● Oh ! France, jhésitais à te le demander, je veux que nous restions amies.
Parole du même genre que ceux que tiennent des ivrognes promettant darrêter de boire de sa part.
Un mois plus tard il faisait sa valise, plutôt son sac de sport et intégrait, le centre de formation du barça en Espagne.
Je suis restée en contact avec la famille, mère et fils le plus grand, celui qui savait débloquer les portables et à ce jour Christian a épousé une très belle Espagnole et ils ont trois s.
Plusieurs fois, jai failli aller le voir jouer, il joue avec le grand Messi et Neymar, mais javais peur de foutre le bordel dans son couple en recouchant avec lui.
Cette première fois pour nous deux, il aurait certainement voulu remettre le couvert, bien que mes amants avec eux, presque jamais deux fois.
Il était parti et je suis revenu à mon gode, jusquà mes dix-sept ans, là ont commencé mes sorties en boîte avec Joceline et mes premiers amants véritables.
Dun soir bien sûr.
Mon endroit privilégié, cétait les chiottes de ces établissements.
Combien de beaux mecs mont pris cloué à la porte de ces waters ?
Je lignore, ce que je sais cétait la boulimie de sexe que je voulais en moi.
Les chambres dhôtel, aussi, quand je rencontrais dans des bars des hommes mariés en séminaire honteux de tromper leurs femmes.
Les chambres dhôtel par la suite quand je tchatais avec eux avant quils quittent leur dulcinée et viennent se vider les couilles dans la chatte de la salope que jétais.
À cette époque, jai eu la chance que mon père et ma mère assument mes débordements, car les études pâtissaient de mes besoins de sexe presque journaliers.
Ils mauraient virée, cest pute que je serais facilement devenue.
Baiser par soumission à mon sexe ou pour gagner ma vie, ça aurait été facile.
Un jour, je venais davoir dix-huit ans, je passais devant chez Christian et jai voulu avoir de ses nouvelles.
Sa mère Alicia était là et ce fut ma première expérience saphique.
Comment en est-on arrivé à nous bouffer la chatte dans son lit, je lignore.
Certainement un regard un geste, ce que je sais cest que mon sexe avait sa dose de plaisir et moi, jen étais de plus en plus soumise.
Jétais certainement faite pour baiser avec les mères de mes amis.
Un jour où je me suis rendue Joceline récupérer un nouveau gode que javais commandé, cest Patricia, sa mère qui ma reçu.
Patricia était mariée mais malheureuse en ménage, car son mari était porté sur les hommes et elle sur les femmes.
Elle avait aussi des godes, principalement un gode tenu par des sangles.
Jétais en levrette, jai senti quelle caressait mon anus avec le gland noir et cest elle qui ma dépucelé le cul.
La sodomie, une nouvelle étape dans ma jeune vie de débauche.
La sodomie bien-aimée par mon anus, qui la pratiquait chaque fois quun homme me sollicitait.
Comment me définir, une chienne, qui pouvait baiser qui voulait delle ?
Jen étais même, certains soirs, quand lappel de la nuit arrivait et quaucune bite portée par un bel homme était présente pour me satisfaire de suivre des hommes vieux, même plus que très vieux.
Souvent sous leurs coups de bite, mon sexe trouvait sa dose de plaisir et savait me dire au moment de mon orgasme que jétais à son service.
Il choisissait, je me soumettais à tous ses désirs.
Dun coup, le jour de mes 25 ans, jai essayé de compter combien dhommes mavaient baisé faisant de moi une addict du sexe ?
Cétait impossible, jai ri quand jai repensé à Joseph le frère de Christian.
Un jour que je venais pour me gouiner avec sa mère, cest lui qui ma baisé sur la table de leur cuisine.
Mais faire le compte, c'était impossible.
Jai pris peur.
Jai pris une grande bouffée dair et pris la résolution de ma vie, je devais échapper à la soumission de mon sexe...
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